Datées du XIIIème siècle, les histoires de Nasruddin Hodja interrogent l’âme humaine, dans la grande lignée des contes soufis auxquels ils appartiennent. Ces textes ont inspiré Didier Labbé dans l’écriture d’une musique à la fois savante et populaire, ethnique et contemporaine, aux accents turcs.
Les pièces musicales sont ponctuées par les histoires de Nasruddin contées par Stéphane Laisné, parfois nonchalamment posé sur son âne et parfois en orbite autour des musiciens.
Le danseur Michel Raji incarne le rôle du sage et du derviche et symbolise ainsi la dimension spirituelle et soufie du personnage de Nasruddin.